Citation
Que Habyalimana Juvénal cesse d’attiser ces troubles par personnes
interposées. Sinon,il doit être arrêté et emprisonné afin que la Paix revienne.
Rwandais, rwandaises, après ma dernière publication sur les bagarres sanglantes ayant éclaté au domicile du Président Habyalimana lors des festivités qu’il avait
organisées le 9/8/1992 où je lui demandais de cesser de couvrir des actes de
terrorisme afin que les troubles cessent. C’est que je sais que ces troubles sont menés par les "Interahamwe" composés essentiellement de civils et de militaires engagés pour ça, dont le nombre s’élève à 75.
Parmi ces "Interahamwe" il y a des fonctionnaires de l’Etat dont les plus zélés sont des proches du Président Habyarimana. L’exemple parlant est Ntirivamunda Alphonse, beau-fils de Habyalimana et Libanje Rubogo également ayant des relations parentales avec Habyalimana.
Aussi Ndangari, un fou qui a d’ailleurs une fiche au centre psychiatrique de Ndera.
Les entraves à la paix au Rwanda sont toujours enracinées
Les personnes influantes de Habyarimana dirigées par NUrivamunda et le nommé Ndangari Christophe ont été convoquées, le matin du 14/8/92, par le handicapé Simbikangwa Pascal et se sont rencontrés au Minesupress dans une voiture dudit handicapé et ont convenu de ce qu’aucun fonctionnaire ne devait aller au service lundi le 17/8/1992. Pour ce faire, Ntirivamunda devait employer des "caterpiltars" pour barricader les routes en versant de la terre dans toutes les routes empruntées par les fonctionnaires pour arrêter le service.
Les véhicules qui ont versé la terre et les routes sont venus de Ruhengeri (Ntirivamunda voulant cacher son jeu): les premiers monticules de terre ont été versées à l’ONATRACOM aux environs de minuit. Vendredi, avec les véhicules de projets allemands,le même Ntirivamunda a affecté Monsieur Ndangari Christophe et ce dernier a sillonné toute la ville, vendredi, en invitant tous les fonctionnaires à une réunion qui devait avoir lieu le soir. Il a de même invité ces fonctionnaires à faire la grève le 17/8/1992. Réunis au stade de Kigali, ils se sont convenus de barricader les routes pour que les fonctionnaires n’aillent pas au service.
Les monts de terre ayant servi à barrer la route devant l’ONATRACOM sont actuellement employés par la population pour faire des briques.
Lorsqu’on examine toutes les actions destinées à déstabiliser le pays en créant des troubles partout et en prônant la désobéissance, actions perpétrées par les partisans de Habyarimana, on constate
qu’il est vraiment difficile que la paix revienne au Rwanda surtout qu’il est indéniable que Habyalimana est derrière les instigateurs de ces méfaits destinés à créer des troubles dans le pays surtout ceux dans lesquels est impliqué son gendre. Par exemple la plupart des véhicules qui transportent les fauteurs de ces troubles s’approvisionnent en carburant sur les bons d’essence de la Direction Générale des Ponts et Chaussées dirigée par Ntirivamunda. C’est lui également qui met à leur disposition la grande partie de ces véhicules en puisant dans les caisses incontrêlées du Fonds routier et enfin qui distribue les fers à béton parmi les
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Interahamwe.
Quand nous voyons tous ses actes dont le seul but est de provoquer des
troubles dans le pays, troubles qui provoquent des vio]ences qui ne cessent pas, nous nous demandons pourquoi son beau-père, le sachant, ne le désavoue pas? C’est pourquoi toute la population devrait entendre raison et faire comprendre à Habyarimana que le pays l’a bien entretenu durant 30 ans qu’il l’a dirigé, qu’il ne devrait donc pas cautionner les troubles destinés à le détruire. Et s’il ne veut pas y mettre fin,il faut qu’il soit arrêté et mis en prison pour que la paix soit rétablie.
Opposer. des Rwandais n’est pas Amour de la Patrie (Pays).
Nous tous Rwandais sommes au courant des tristes événements du Bugesera,
de Murambi chez Gatete, interahamwe n° 2 après Habyarimana,
comme il s’en réclame,les troubles qui ont eu lieu dans la ville de Kigafi, dans la commune Runda, de Gitarama, à Ruhengeri et ailleurs, tous sont commandités par les grandes personnalités, membres de ce fameux AKAZU qui plonge le pays dans [a désolation. Je ne peux pas ne pas affirmer que parmi le groupe de Interahamwe qui se sont rendus au Bugesera, dans un minibus HIACE,il y avait des militaires armés de pistolets. L’essence utilisée pour brûler les maisons était transportée par Ngeze Hassani qui la stockait chez le Bourgmestre Rwambuka qui a saccagé le Bugesera
Ceux qui sont à la base de ces troubles qui surviennent un peu partout dans le pays sont des Interahamwe convaincus. Je citerai Habyarîmana Juvénal: Président du MRND, Barayagwiza J. Bosco: ex Dirgéral chargé des affaires politiques au MINAFET, actuellement membre du parti C.D.R., Bucyana Martin: Directeur de la Papeterie du Rwanda de Zaza, Président du parti C.D.R., Ngirumpatse Mathieu, Rwabukumba Sérafin, Zigiranyirazo Protais, Nzirorera Joseph: Député de Ruhengeri, Serubuga Laurent: ancien chef de l’état major de l’Armée Rwandaise, Sagatwa Elie: beau-frère de Habyarimana, Uwimana Alphonse, Mme Rushingobigwi Chantal, Ntirivamunda Alphonse, Renzaho Tharisse: Préfet de la Préfecture de la Ville de Kigali, Rwambuka, Gatete, Simbikangwa Pascal,un handicapé physique qui ne quitte jamais son siège:chef de service à la présidence de la République et beau-frère de Sagatwa, Ribanje Rubogo, parent du Président du MRND, Musabe Pasteur,beau-frère du Colonel Bagosora (n° 2 au Ministère de la Défense) et Directeur de la Banque Commerciale du Rwanda, Bizimungu Casimir: Ministre de la Santé et Conseiller particulier de l’IKINANI, Rucagu Boniface: Député de Ruhengeri, Nzabagerageza Charles, Seyoboka Damien: Député de Gisenyi qui a dirigé le groupe des Interahamwe qui se sont rendus au Bugesera, Rugira Amandin: Député de Butare, Mbonabaryi Noël, alias "CONSHOMA (donne-moi un baiser)": député de Gisenyi et Parrain de l’Ikinani, le gendre de Mbonabaryi du nom d’A[oys. Ce sont ceux-là qui provoquent les troubles dans tous les coins du pays, aidés des Interahamwe - officiers, commandants ou ex-commandants des camps militaires les plus importants. Parmi ces derniers je citerais notamment le Major Nkundiye: commandant du Camp GP constituant la garde Présidentielle de Habyarimana et le Colonel Bagosora: ex-commandant du camp colonel Mayuya,
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actuellement n° 2 du Ministre de la Défense,James Gasana. Vous vous souvenez que le Bugesera a brQlé jour et nuit sous le Gouvernement Nsanzimana. Si ce gouvernement était resté au pouvoir, aucun mututsi ou opposant du MRND ne serait encore (en vie) présent dans le pays et aurait été ainsi enterrée toute idée d’une politique multipartite au Rwanda. Saviez-vous que les interahamwe-militaires vivant dans les Camps susdits sont toujours armés de baïonnettes, pistolets et cordelette de commandos! Ce groupe de lnterahamwe comprend 75 militaires bien entraînés issus des deux camps militaires déjà cités. Saviez-vous que les barrages sur la route en commune Muhingo de Kajerijeri, Nzirorera et Ntilivamunda ne devaient pas durer deux jours? La situation a été compliquée par la présence de 30 militaires en possession de ces armes que j’ai déjà citées. Sans la présence connue dans leurs rangs de ces militaires, les Interahamwe ne poseraient pas eux-mêmes ces actes.Et ce sont ces militaires qui constituent la garde présidentielle.
Lorsque nous avons dressé des barrages dans la ville le 28/5/1992, nous avions parmi nous 60 militaires. Ce sont certains de ces militaires qui ont battu le Dr. Mugenzi de la Pharmacie UMURAVUMBA sous le seul prétexte qu’il est militant du MDR. il a été malmené sans mesure. Se ces militaires n’avaient pas été là, il n’y aurait pas eu de troubles dans la ville.N’oublions pas non plus les barrages qui ont été dressés à Gitiryinyoni. Les Interahamwe ont bloqué la circulation, armés de gourdins, des baïonnettes et des fers à béton; ils avaient même des fusils.Pourtant aucune poursuite n’a été engagé contre ceux chez qui de telles armes ont été découvertes.
Au contraire j’ai entendu dans la nuit du 22 au 23/8/1992 Ngirumpatse Mathieu louer leur discipline. Leur discipline n’est autre que remplir la mission leur confiée. Combien y a-t-il eu de blessés à Gitiryinyoni? Combien de gens ont été spoliés,combien de véhlcules ont été allumés? C’est à partir de tous ces faits que je demande aux autorités chargées de la sécurité des personnes d’évaluer ce sang versé pour rien à cause d’une seule personne,qu’elles prennent leur responsabilité pour défendre des droits de l’homme avant que nous ne soyons tous exterminés.
Que celui qui est à la base de tout cela, en l’occurrence Habyarimana, qui ne veut pas que ces troubles cessent, soit appréhendé et mis en prison pour qu’enfin la tranquillité revienne dans le pays. D’autres qui subiraient le même sort sont ceux-là qui l’aident dans les projets de tuer et de dresser les barrages sur les routes,de même que ceux qui mettent ces plans en exécution devraient être destitués de leurs postes qu’ils occupent dans l’administration parce que c’est grâce à ces derniers qu’ils tuent les gens. Et après qu’ils soient traduits en justice.
Aucun secret n’est jamais resté inconnu.
Avant de clore cet article, je voudrais vous révéler un secret; parceque tout secret finit par être su. Saviez-vous qu’en date du 1er août 1992, un militaire GP a été tué près de la Primature par un garde du corps (gorille) de Nzirorera à l’aide d’une arme que ce dernier lui avaitdonnée? Ce jour là, ce gorille s’est chamaillé avec ce GP et celui-ci a ëté tué par le premier.Il a fallu de peu pour que ce ne soit pas un secret. Si jamais il n’y avait pas eu d’autres militaires GP qui avaient été
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témoins des faits, le Major Nkundiye, Commandant du camp GP et Nzirorera auraient tout faire pour cacher la mort du GP afin qu’elle ne soit pas connu. Ces GP témoin sont dit à leur commandant: "Monsieur le Major,si tu caches la mort de notre collègue en faisant disparaître toute trace,nous te tuerons aussi même si tu est notre Commandant". Les choses se compliquent davantage du moment que les suppressions arrivent parmi les GP!!
Comment Habyarimana nierait-il ces méchancetés et assassinats? Les Preuves sont abondantes,
Tous les Rwandais se souviennent que, ces derniers temps,les bombes et les mines sautaient tous les jours à Kigali. Personne n’a été appréhendé et inculpé publiquement parcequ’elles étaientposéesde nuitdurantles heuresdu couvrefeu.Personned’autrene pouvaitcirculerla nuit sauf les militaireset les militantschérisdu MRND qui étaienten possession de laissez-passer baptisé "OpérationHirondelle". !1 est bien compréhensible que personned’autrene pouvaitposerces bombeset mines.N’ayantjamaisattrapépersonned’autre, qui en rendra-t-on encoreresponsable? Ces bombeset minesont toujoursété posées,causantdes victimesparmiles populations de villesde Kigaliet de Nyanza.Des minesont sautéà la gareroutière, dansdes taxisen circulation, dans les faubourgsde la villede Nyanza,au Bugesera.Tout cela a provoqué l’amertume des militants des autrespartisqui ont finalement
dénoncéces faits,
affirmantque personned’autrene pouvaitposerces mineset bombesque ceux
quiavaient
l’autorisation
de circuler
la nuit.SI,disent-ils,
ces bombeset mines
sont posées par les Inkotanyiet leurs complices,pourquoisautent-elles
uniquementdans les réglonsqui ne comptentpas de militantsdu MRND ou
atorspeu alorsque nous savonsqu’ilssont en guerrecontrele MRND?C’est
ainsiqu’ilsont dénoncéhaut qu’il s’agissaitd’une tactiquedu MRND pour
opposerdes Rwandais.
Ceux qui les posaientont tout de suitechangéde tactiqueen s’attaquait
à
Gisenyirégionà majoritéMRND,Celuiqui en étaitchargéposala bombedans
une latrine(w.c.)aprèss’étresoulagéet aquittévite les lieuxen courant
prétextant
que c’étaità lui qu’onen voulait.
La bomben’a éctatéque derrière
lui. La nouvellese répanditpartoutque les Inkotanyiavaientmodifiéleurs
méthodesde combatet qu’ilss’étaientattaquésaussià Gisenyi.Maisrien de
tout cela n’étaitvraiIHNous avons tout découvert.N’estce pas que c’est
aprèsla visitede cet Américainchez-nousqui avaitdonnéune miseen garde
(menace)commequoisi jamaisaucuneautrebombesautait,en endosseralent
responsabilité
ceuxqui avaient
la liberté
de circuler
la nuitpendant
les heursdu
couvre-feu?
Combiende minesont encoresautéaprèscela?Qui a été attrapé
jusqu’à
leurcessation?
S’ilpouvait
revenir
encoreune foisau Rwandaet attirer
l’attention
des autorités
sur leurresponsabilité
qui seraitengagée en cas
d’éclatement d’une quelconque grenade, ceux qui les lancentseraient
Malheureusement
découragés
et abandonneraient,
et la tranquillité
reviendrait.
il n’estpas possiblequ’ilrevienne
actuellement
au Rwanda. Mais pourquoile
PrésidentHabyarimana
du MRNDne serait-ilpas
arrêt6et mis en prisonpuisque
et son
tousceuxqui fontcelane se prévalentque de lui (soussa protection
cautionnement).
Quandon dit que le Rwandan’estpas un état de mort,on n’a pas tort;parce
qu’i[y a ceuxqui sontsoumisà la loi et ceuxqui se mettentau-dessus
d’elle,
alorsque tous les hommessontégauxdevantla loi. Commele présidentde la
République
est au dessusde la loi et de toutau Rwanda,sur basede quelleloi
peut-ontle condamner?Toutefois,le présidentdu MRND est soumisà la loi
commetoutle monde.Si jamais,en tantque président
du MRND,il violela loi
dontil est le garanten sa qualité
de président
de la République,
s’ilest établi
qu’ilest l’auteur
des troubles
dansle pays,pourquoi
ne serait-il
pas arrêtéet
emprisonné?
Ceuxqui agissentsous la protection
du présidentHabyarimana
et
commettent
des actesqui le discréditent
et sontpréjudiciables
aux autressont
très nombreux. Parmi eux, on peut citer Ntitivamunda, beau-fils de
Habyarimana
et son groupe.S’il n’étaitpas sous la protectionde son beaupère,oserait-ilbloquerle servicedes ports et chauss~espour refuserla
convocation
l’invitant
à comparaltre
devantle parquetpours’expliquer
sur les
troubles
qu’iln’a cesséde provoquer
dansle pays?Si ce n’étaitpourinciterà
la désobéissance
civile,
refuserait-il
de remettre
lesclésde son bureau
alorsqu’il
se rendbien compteque même ceux qui ont un gradesupérieurau sien les ont
remises?Aurait-ilpris un bureaude l’Etatpour s’en approprier
commes’il
t’avait
hérité
de sonpère?
S’iln’était
pas couvert
par son beau-père,
oseralt-il
mobiliser
pendant
toutBune
nuitlesvéhicules
de l’Etat,
l’essence
et leschauffeurs
payésparl’Etatpourles
ut]]lser
à inciter
lesagents
de l’Etat
à la désobéissance
civtle?
S’iln’était
pasle
beau-fils
du Général,
passerait-il
une nuit& l’extérieur
sanspasser
au 1930(càd.
la prisonde Kigali);
aurait-il
défiétouteslesconvocat]ons
jusqu’à
tirersurles
agentsde l’ordre?
De touteslaçons,qu’onles laisse,
on verrafinalement
ce qui se passera.
Mais,
curieusement,
j’aientendule Bourgmestre
Kajelijei[
direaux antennes
de radio
Rwanda,qu’ilsrespectent
les droitsde l’hommealorsqu’ilest lui mêmeaccusé
d’avoir
enterré
lesgensvivants.
Qui vivraverrai
AFRIKAJanvier.
5
*
t
K0243992
Sachezoue le suismenacé,
Dansle précédent
numérode ce journal,je vousavaispromisque j’allaisvous
livrett’entretien
que j’aieu avecles enfants
qui sontpeindsd’étredes enfants
naturelsdu président
du MRND,à savoirHabyarimana
Juvénal,maisqui ne sont
pas traitéscommedes enfantsdu Président:
ils n’espèrent
pas avoirl’héritage
chezleurvraipèreet là où ils sont,il n’ontpas la confiance
des prétendus
parents,
ils n’ontpas eu l’accès
à l’enseignement
alorsquec’estprimordial.
J’avais
faitun longarticleet avaisenregistré
les voixde certains
d’entre
eux.
Lorsde l’expédition
qui a su lieuchezmoi le 16 août1992,j’aieu de la chance
parceque j’étaisabsent.Deuxvéhicules
sontpasséschezmoi,l’unimmatriculé
GB2476, l’autreimmatriculéGB2350.On a emportëtous les documents(des
écrits)qu’ona trouvéschez moi.On a prismon magnétophone
et l’articleque
j’avais
faitsurlesdits
enfants,
il onta laissé
chezmoiun écritsanssignature
(un
tract).
Parmiles enfantsaveclesquelsj’avaispu m’entretenir,
je citeraisentrautre
Niyonizeye
Dieudonné,
actuellement
sous le nom de Niyonizeye
Denys.
Comptatenude ce tractque j’aitrouvéchezmoi et commeje connaisles visés
de Simbikangwa
et de ses commanditaires,
il n’y a pas de douteque,commeils
l’ontdéclaré,
ils finiront
par m’avoir.
En ce qui concerne
les déclarations
de ces
enfants,ellesne sontplustrouvables.
En outre,ces enfantssontcertainement
en danger.Quoi qu’ilen soit,tant qu’onne m’a pas encoreélimîné,rien ne
peutm’empëcherde dire la véritéparceque je suis déterminéà payerma vie
pourelle.
Les gensen ont assezde la politique
baséesur le mensonge,
la criminalité,
la
sournoiserie
et la démagogie.
AFRJKAJanvier.
TEXTE DU TRACT
C~
Toi, AFRIKAJanvier,nous venonsde passerici ~ te recherche,même si nous
ne t’avons
pastrouvé,
gare8 toill
Ce que tu as publié dans le journal UMURAVA Magazine no. 9 du 15/08192
concernant
le président
de la République
et Nkundabatware,
tu comptespublier
encoreautrechosedansle prochain
numéro;si tu le fais,tu ne survivras
pas.
Tu aurasrenoncéà ta vie,tu saisbienque nous ne blaguonspas.Que ce soit
de nuitou de jour,nousfinirons
parte trouver.
6..
