force de protectionau Rwanda était imminente et que des pays africains
humanitaire
désormais.
une affaire d'heures et de jour
Deux ou trois pays africains ont, a-t-il dit.
répondu favorablement, j'attends encore une réponse ferme de pays
européens
Quoi qu'il en soit, nous le ferons. Chaque heure compte, a expliqué
prête sans attendre l'arrivée de la, a-t-il déclaré.
force des Nations unies à envoyer avec ceux de ses partenaires
européens et africains qui le voudront une force de protection
humanitaire destinée à assurer la sécurité des populations civiles qui
ont échappé à l'extermination
Depuis le déclenchement des hotilités, elle a
tout fait pour éviter, a-t-il affirmé.
la reprise des combats, elle a mené une action diplomatique intense en
vue d'un accord politique
On ne peut plus attendre
tout le monde s'y réfèreet a dit avoir reçu
une lettre chaleureusequi
de remerciements des dirigeants du Front patriotique rwandais
Dans chaque camp, certains ne voulaient pas de compromis. On a, a-t-il
recherché l'élimination de ceux qui soutenaient la paix
a brisé, sans doute à dessein, ce fragile espoir et déclenché la, a dit François Mitterrand. Il a rappelé
reprise de combats barbares
les combats se sont.
poursuivis (...) désormais sans frein, de la façon la plus sauvage
On ne peut plus attendre, on le voit bien (...) Il y a donc une, a ajouté François Mitterrand pour expliquer
extrême urgence
fgtquery v.1.9, 9 février 2024